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Le Metaverse va-t-il tuer le tourisme ?

Le Metaverse va-t-il tuer le tourisme ?

Notre rapport au tourisme virtuel. Le rapport metaverse danger…

Le titre de cet article est une question qui m’a été posée sur QUORA, et avant de donner des pistes de réponses, rappelons les promesses du Metaverse, et celles du tourisme.

définition Metaverse

Métavers en français. C’est un outil ouvert, entièrement paramétrable par ses utilisateurs. C’est une évolution de l’utilisation d’internet dont les principales propositions de valeurs sont :

  • Un monde numérique, spatialisé et immersif, construit par ses utilisateurs
  • Persistant (quand j’éteins mon PC, le monde continue à vivre)
  • La capacité à interagir avec les éléments virtuels de l’environnement et avec d’autres utilisateurs
  • La capacité à gérer son avatar (l’apparence, les gestes, la démarche, les expressions, …). Avec vue subjective en immersion casque VR et/ou avatars à la 3ème personne (piloté et vu de l’extérieur). Avatars pérennes.
  • L’ubiquité (être en plusieurs lieux en même temps en pilotant plusieurs avatars si on le souhaite)
  • Une diversité des utilisateurs et des communautés
  • Une liberté, non contrainte par des règles morales arbitraires
  • Un univers qui possède sa propre économie
  • Un outil interopérable, avec la capacité à gérer ses possessions et passer d’un environnement à l’autre si différentes briques du Metaverse étaient basées sur différentes technologies
  • Un outil multi-plateformes (PC, MAC, smartphones, casques de réalité virtuelle, réalité mixte…)
  • La décentralisation et la sécurisation (les données sont certifiées, et le système appartient aux utilisateurs, pas à une seule entité)

Le tourisme

A longtemps été le seul moyen de découvrir l’autre et l’ailleurs, bien avant l’avènement des outils modernes de communication et même de transport. Dans notre société moderne, le tourisme est devenu principalement synonyme de :

  • Création d’emplois
  • Développement des infrastructures et services
  • Préservation et la mise en valeur du patrimoine
  • Echanges culturels
  • Compréhension mutuelle
  • Développement des communautés locales

 

Le tourisme virtuel via le metaverse ?

Cadrons un peu le propos : avant d’évoquer un “métavers danger”, il faut préciser que le Metaverse n’existe pas encore dans sa forme absolue (article), il se construit par briques, mais induit déjà de nouveaux usages qui le préfigurent ! Pour le touriste, le metaverse ne remplacera jamais la visite ou le voyage, tout comme la simulation de vol n’a jamais remplacé le plaisir du vol, ou mis au chômage les pilotes amateurs (ou pro). Ni les jeux de course de voitures avec casque immersif n’ont remplacé les vrais circuits automobiles.

Cependant, il faut réfléchir à notre manière de “consommer le voyage“. J’en discutais il y a peu avec un ami, qui me disait que son expérience de visite de la Chapelle Sixtine ne restait pas le meilleur souvenir de son séjour en Italie : foule, brouhaha, tout le monde épaule contre épaule le nez levé, l’oeil sur les smartphones… On est loin du compte en terme d’expérience mystique ou architecturale.

Aujourd’hui, un jumeau numérique nous permet de nous y immerger aussi longtemps que l’on veut, en faisant varier la lumière, avec le son spatialisé, nous permet de voler vers le plafond, voir le détail des peintures, connecté avec des amis, un guide personnel, etc… avec une ambiance si proche de l’original, que l’on peut se demander si c’est encore la peine de créer un tel flux humain sur le vrai monument. D’autant que la plupart du temps, c’est devenu affaire de cocher une case sur sa liste de selfies pour son compte Instagram.

Alors, peut-être que vu de France ou d’Italie, une visite virtuelle de la Chapelle Sixtine paraît excessif, mais est-ce vraiment si absurde à y bien réfléchir ? Un japonais ou un hawaïen ont-ils le même point de vue ? “Visite virtuelle Chapelle Sixtine” est d’ailleurs un mot clé très tendance sur Google, de même “visite virtuelle château de Versailles”, “visite virtuelle du Louvre” ou “visite virtuelle grotte de Lascaux”. Et de France, pense-t-on pareil pour des destinations plus lointaines ?

N’y a-t-il pas eu aussi de l’engouement pour revisiter Notre Dame intacte, juste après son tragique incendie ? Tout à coup, le virtuel devenait un conservatoire incontournable du patrimoine, accessible de n’importe où,  “visite virtuelle notre dame de paris” était monté en flèche dans Google Trends ! ScanPyramids VR, la visite virtuelle de la pyramide de Khéops organisée par la Cité de l’architecture à Paris, a remporté un tel succès que l’opération redémarre régulièrement. La visite téléporte un groupe de six personnes, équipées d’un casque de VR et accompagnées d’un guide, sur le plateau de Gizeh pendant quarante-cinq minutes.

« Cette forme de tourisme hors-sol ou tourisme 4.0 va se développer sans pour autant éclipser le tourisme, qui reste un temps d’expérience ailleurs. Le virtuel permet des expériences multisensorielles ou impossibles dans le réel, mais il ne remplacera pas l’ascension du mont Blanc, par exemple »
David Nahon, directeur de l’Immersive Experience de Dassault Systèmes (article). 

 

La place du social

Visiter un jumeau numérique du Vatican ne veut pas dire que son accès “in real life” devient interdit au public, mais il s’agit bien de penser comment et pourquoi nous consommons du tourisme. C’est avant tout une réflexion sur notre comportement individuel, face aux sites touristiques les plus populaires qui sont souvent soumis à une pression excessive. En revanche, la vie dans les quartiers alentours, les petits restaus, les échanges humains, les ambiances, les odeurs, les recettes locales, etc… on fait toute la richesse du déplacement de mon ami.

 

Les usages

Il s’agit bien de penser usage, et pertinence de l’usage !

L’outil pourrait permettre de partager à plusieurs une experience immersive sur un lieu qu’on ne peut partager autrement entre amis, ou membres d’une même communauté : parce que trop loin, trop cher, ou comme évoqué plus haut, trop de pression touristique (donc à préserver), trop dangereux pour moi, …

Au regard de la pression touristique, ces outils sont l’occasion de faire découvrir de nouveaux lieux, et de mieux répartir les flux de visiteurs. Il est question dans certains pays comme la France, d’utiliser les influenceurs des réseaux sociaux pour proposer de nouvelles destinations, pour en préserver d’autres ; les casques VR et les applications sur leurs Stores sont un bon moyen de découverte et de préparation.  

Grâce aux jumeaux numériques, et si on en a envie, on peut aller visiter en immersion à l’échelle 1:1 l’hébergement choisi, préparer un parcours de randonné un peu compliqué (prendre des repères, se faire une idée des difficultés), … Mes enfants n’ont jamais fait une visite avec autant de curiosité et de jeu que le jour où ils ont visité le Mont-Saint-Michel dans Second Life la veille d’y aller “en vrai” : ils étaient à l’affut de tous les petits détails qu’ils avaient eu le temps d’observer “en volant” au dessus des rues ou “en plongeant” dans les soubassements. Étonnamment, la surprise et la découverte étaient décuplées.

Le Mon Saint Michel dans Second LifeLe Mont Saint-Michel dans Second Life https://secondlife.com/destination/1338

Il peut aussi venir en complément d’un site touristique, qui sur place ou à distance, peu proposer de plonger dans le passé ou le futur les visiteurs, ensemble, avec des interactions riches !

 

La place de l’art et de la nature

La France, première destination du voyage, et plus ancienne nation touristique, peut là montrer l’exemple, réfléchir à la place de l’art dans les vacances, au respect de la nature et des paysages, des habitants.
Jean VIARD, sociologue et directeur de recherches CNRS au Cevipof, Centre de recherches politiques de Sciences Po Paris. 

Le NøøMuseum, musée virtuel, ou le “Premier Festival de Science-Fiction Virtuel Après La Fin Du Monde” ; inauguré en mai 2013, est le prolongement dématérialisé dans le cyberespace du “Festival de la Science Fiction et de l’imaginaire de Roanne” fondé il y a trente ans. La réalisation de ses différentes versions numériques est le fruit d’un travail collectif qui rassemble artistes, concepteur son et de technologies des réseaux.

Reconstitution en 3D temps réelle du tableau de Velasquez, Las Meninas.

Reconstitution en 3D temps réel du tableau de Velasquez, Las Meninas, par Yann Minh pour le Noomusueum, avec possibilité de déambuler DANS le tableau pour mieux en comprendre la composition. https://www.noomuseum.net/

On pourrait aussi citer des expériences qui nous rapprochent de la nature, dont certaines sont inaccessible pour beaucoup d’entre nous, ou à ne pas (plus) faire pour des raisons de conservation : les sommets des hautes montagnes, les plongées profondes, les voyages dans le patrimoine disparu, dans le futur…

Dans les expériences virtuelles que nous avons construites, je me souviens de Laurent Ballesta,  océanologue et photographe naturaliste, disant en octobre 2013 “Ohlaa j’y retourne !” alors qu’il découvrait en immersion une plongée virtuelle à 120 m de profondeur avec le Cœlacanthe, qu’il avait étudié dans le Golfe du Mozambique.

Il prenait plaisir à rappeler à l’époque que moins de gens avaient plongé avec ce poisson mythique qu’il n’y avait eût d’hommes sur la Lune... 4 minutes pour descendre à 120 m, mais les 5 heures de remontée par paliers de décompression en pleine eau pour 30 minutes d’exploration au fond, l’entrainement physique, le coût du matériel et la complexité des mélanges gazeux à respirer devaient y être pour quelque chose…

Laurent Ballesta en plongée virtuelle avec le Coelacanthe
Laurent Ballesta – Janvier 2014, pointant du doigt un Coelacanthe, par 120m de fond… 

Nous avions porté cette expérience à des centaines de personnes en janvier 2014 au salon international de la plongée de Paris. Aujourd’hui, 10 ans après, l’expérience est portable dans n’importe quel foyer pour le prix d’un Smartphone. Demain, ce sera un standard.

En faisant la parallèle entre Lune, espace et standard de visite, il y existe d’ailleurs une “visite virtuelle iss” gratuite en ligne, qui permet de parcourir la station spatiale internationale (avec casques VR ou sur son PC).

Le Metaverse, est, comme les outils de réalité virtuelle et de réalité augmentée, un moyen pertinent de créer un continuum de visite, en permettant un lien entre avant, pendant, après visite. Et c’est un endroit où l’on socialise, tout comme par exemple dans Second Life (un ancètre du Metaverse), où j’ai travaillé pendant plus de 4 ans et rencontré “des utilisateurs”, d’abord par avatar interposé, qui sont devenus des amis et/ou partenaires “in real life”. Rappelons aussi qu’en 2021, le produit intérieur brut de Second Life (l’argent généré par les transactions de la monnaie interne à la plateforme, que beaucoup disent “morte”) s’élève à 650 millions de dollars.

 

Quel tourisme veut-on ?

Si l’on rebondit sur ce phénomène de “tourisme de grande consommation” il ne faut pas oublier la nouvelle génération élevée à Fortnite ou Minecraft, avec leurs centaines de millions d’utilisateurs. Univers dans lesquels on ne fait pas que du jeu, mais aussi de la création de contenus, où on assiste à des spectacles, et où l’on socialise en ligne, et… dans le vrai monde, avec l’organisation d’évènements qui rassemblent des dizaines de milliers de personnes en un même lieu.

Pour le coup, le tourisme et les commerces locaux en sont d’autant boostés ! Et c’est certainement là que le vrai débat s’ouvre, car tous les sites touristiques ne sont pas préparés à ça :

Quel tourisme veut-on pour demain et comment les nouveaux outils vont-ils impacter nos comportements les plus nuisibles ?”

ESports: Fortnite World Cup Finals

Jul 27, 2019; Flushing, NY, USA; A general view of Athur Ashe Stadium during the Fortnite World Cup Finals e-sports event at Arthur Ashe Stadium. Mandatory Credit: Dennis Schneidler-USA TODAY Sports

Pour aller plus loin sur la promesse du Metaverse :
https://www.explorations360.com/15-ans-dans-le-metaverse/

Pour aller plus loin sur le tourisme, le sociologue Jean Viard revient sur l’année de pandémie et la façon dont elle a modifié durablement notre sens du voyage et des vacances :
https://www.lepoint.fr/voyages/l-an-zero-du-tourisme-12-06-2021-2430682_44.php#11

Les Events du Village – L’intelligence Artificielle !

Les Events du Village – L’intelligence Artificielle !

utiliser l’intelligence artificielle en vr

Les Events du Village – L’intelligence Artificielle !

👉Retrouvez-nous le 28/03/2023 de 12h15 à 13h45 au Village By CA des Côtes d’Armor pour une conférence gratuite sur l’IA avec Thomas Wentz !

L’intervenant – Thomas Wentz 🗣
Fondateur de SperedIA et docteur en traitement de l’information médicale. Après un parcours professionnel dans le public et le privé, il accompagne les entreprises vers le développement de systèmes d’Intelligence Artificielle responsables.

Les témoignages 💬
Lors de l’évènement, nous aurons le plaisir de recevoir les témoignages de deux start-ups accompagnées au Village : explorations360® & Hoali.

👉Philippe CARREZ, CEO et fondateur d’Explorations 360, propose un outil pour créer et publier du contenu immersif 360° pour le web ou pour les casques de réalité virtuelle ! L’objectif, c’est de créer rapidement, décliner et mettre à jour des contenus à interactions riches.

👉Alexandre Solacolu, CEO et fondateur de Hoali, veut accompagner ses usagers vers une consommation moins carbonée en levant les freins à l’usage de l’eau du robinet et en rendant plus simple et plus sympa l’usage de la gourde dans notre consommation nomade pour se passer des bouteilles en plastique.

➡Inscription obligatoire : https://lnkd.in/d6Jvcjc2

Autre articles :
https://www.explorations360.com/realite-virtuelle-le-blog-de-specialistes/

 

Restitution vidéo : Des Métavers, pourquoi ?

Restitution vidéo : Des Métavers, pourquoi ?

Captation Metaverse conference

de Pascal Guitton avec la participation de Philippe Carrez

Les conférences « L’invité(e) du jeudi » – un partenariat Cnam Bretagne et l’AFAS – vous sont proposées chaque mois. Animées par des experts passionnés de leur domaine d’intervention, elles traitent de sujets d’actualité mais en prenant le recul nécessaire. https://www.cnam-bretagne.fr/actu…

DES MÉTAVERS, POURQUOI ?” Conférence enregistrée le jeudi 9 mars 2023 de Pascal Guitton, Professeur émérite Université de Bordeaux & Inria, avec la participation de Philippe Carrez, directeur de « Immersion Tools », entreprise spécialisée dans la réalité virtuelle à Saint-Brieuc.

Depuis un peu plus d’un an, nous sommes confrontés à une avalanche d’annonces concernant l’émergence de métavers ; parfois dithyrambiques, parfois catastrophistes, le plus souvent excessives dans un sens ou un autre. La présentation de Pascal Guitton a pour objectif dans un premier temps de faire le tri et de bien comprendre ce que seront – peut-être – les métavers, d’où viennent-il et à quoi ils pourraient servir. Dans un second temps, seront évoqués les principaux #risques liés à ce type de services.

Autre articles sur le sujet du Metaverse ici :
https://www.explorations360.com/15-ans-dans-le-metaverse/

 

Des Métavers, pourquoi ?

Des Métavers, pourquoi ?

Conférence Métavers

jeudi 9 mars à 18h30 de Pascal Guitton, Professeur émérite Université de Bordeaux & Inria

👀En visio, sur Teams ou en présentiel au Totem de l’Innovation à Saint-Brieuc
Le Cnam Bretagne vous propose en partenariat avec l’Association Française pour l’Avènement des Sciences une soirée sur le METAVERS Jeudi 9 mars 2023 à 18h30.

✍️Pour s’inscrire > CLIQUER ICI

Depuis un peu plus d’un an, nous sommes confrontés à une avalanche d’annonces concernant l’émergence de métavers ; parfois dithyrambiques, parfois catastrophistes, le plus souvent excessives dans un sens ou un autre. La présentation de Pascal Guitton a pour objectif dans un premier temps de faire le tri et de bien comprendre ce que seront – peut-être – les métavers, d’où viennent-il et à quoi ils pourraient servir. Dans un second temps, seront évoqués les principaux #risques liés à ce type de services.

Le Grand témoin de la rencontre sera Philippe CARREZ, directeur de EXPLORATIONS 360, entreprise spécialisée dans la réalité virtuelle à Saint-Brieuc, accompagnée par le Village by CA Côtes d’Armor.

Rappel sur un de ses articles sur le sujet du Metaverse ici :
https://www.explorations360.com/15-ans-dans-le-metaverse/

 

conférence métavers

Seul on va plus vite… Ensemble on va plus loin !

Seul on va plus vite… Ensemble on va plus loin !

(Photo : salle immersive de Cooperl Environnement)

C’est suffisamment rare pour être remarqué, ce dossier n’est pas arrivé par la voie classique de notre sémillante force commerciale !

Il nous est parvenu par l’intermédiaire d’un de nos partenaires👍, avec lequel nous avons l’habitude de collaborer (sur toute la partie matériel vidéo et sonorisation) : @Loops pour ne pas les nommer. Un partenaire professionnel et fiable avec lequel nous partageons de vraies valeurs !

Et dans la boucle déjà, d’autres entités dont les spécialités venaient jouxter les nôtres :

On citera notamment @Mediapilote Agence de communication 360, dont Michèle, la Responsable, a très vite eu à assumer la coordination générale, de ce qui allait s’avérer pour nous tous être un projet de premier plan !

L’idée : Créer un concept de showroom innovant , permettant à une entité pourtant historiquement très réservée de communiquer, non seulement sur son savoir-faire unique mais surtout sur son engagement écologique et sociétal.

Une salle immersive

Le concept : un espace dédié de 50m² doté d’un écran incurvé de 19 mètres de large sur lequel sont projetés en mode immersif les contenus réalisés par le consortium. Vidéos, animations 3D, motion designs, interviews, audios, comme autant de médias scénarisés et montés pour permettre de raconter une histoire incroyable !

Dotée d’une salle circulaire de 50 m², la bulle, située zone de Beausoleil, à Lamballe, est une porte d’entrée pour les éleveurs et le grand public vers les activités de cette filiale du groupe industrielle porcin Cooperl (Crédit Photo explorations360)

Et cette incroyable histoire c’est celle de @Cooperl ENVIRONNEMENT !

Branche la plus méconnue de la Coopérative COOPERL ARC ATLANTIC (pour les non-bretons **nul n’est parfait 😉**, un des poids lourds du secteur agroindustriel français et européen !), elle est pourtant devenue un de ses fers de lances en termes d’activités de recherche et de développement sur des sujets connexes aux aspects d’élevage, de production et de distribution de viandes porcines et bovines.
Ou en d’autres termes : Comment la préservation ainsi que la valorisation de l’environnement sont devenues, en 30 ans et à force d’investissements massifs, de puissants relais de croissance pour cet acteur majeur d’une activité agroindustrielle en pleine mutation !

Cooperl ENVIRONNEMENT est une entité à la pointe de son domaine d’expertise et il est grand temps que cela se sache !

Heu… Par contre, que ça se sache, Ok … Mais surtout pas pour faire « Cocorico sur la barrière » !! Pas vraiment le genre de la Coopérative…

L’objectif c’est plutôt de démontrer que cet acteur de premier plan dans la filière de production de viande voit loin et depuis longtemps !

En 30 ans se sont plus de 300 millions d’euros qui ont été investis pour placer l’environnement au cœur de la stratégie de production… Et ce notamment en produisant des BIOENERGIES de l’EAU ou encore des FERTILISANTS NATURELS, à partir de l’activité d’élevage et de transformation de la viande.

Voilà en quelques mots ce que nous avions comme feuille de route.

A partir de cette intention, il a fallu établir un plan d’action autour duquel fédérer les énergies de structures capables de travailler de manière parfaitement complémentaire pour :

  • Imaginer le storytelling, les mots et les témoignages pour cette histoire à raconter (@Mediapilote & @Mr Joe),
    Imaginer le lieu (@BW Architectes) et ce à quoi il devrait ressembler,
  • Imaginer un nom pour cet écrin, imaginer une mise en scène, imaginer la richesse des contenus, imaginer le bon moyen pour les présenter,
  • Imaginer les technologies à mobiliser (@Loops)
  • Qu’enfin, la technique disparaisse complètement derrière le propos et les gens qui le portent… Et c’est notamment sur ce point que nous (@ImmersionTools / @explorations360😉) avons pu apporter notre pierre à l’édifice !
explorations360

La valeur ajoutée explorations360 & IMMERSION TOOLS : Rendre la technique simple et accessible alors qu’elle est complexe et omniprésente !
C’est-à-dire, créer un outil de montage et de présentation des contenus accessibles via une tablette de contrôle simple et souple à utiliser et centralisant tous les outils nécessaires au présentateur.

Salle Immersive

Un système complet de création, de scénarisation et de pilotage de toute l’infrastructure de présentation.

Le plus intéressant rétrospectivement au sein de cette collaboration, c’est que tout s’est fait naturellement en partant de l’intuition de départ que toutes ces entités étaient faites pour collaborer !

Chacun a alors pris naturellement sa place dans le dispositif, assumant sa part de valeur ajoutée et collaborant volontiers avec ce qui a fini par devenir une « Dream Team » ! (de l’aveu même de Franck PORCHER et Anne-Julie PLOUVIER, respectivement Directeur Général et Responsable Marketing et Communication de Cooperl ENVIRONNEMENT).

Moins d’une année de mode projet aura permis le 24 juin dernier, d’inaugurer ce lieu de médiation et de communication à destination des clients, des Institutions, des scolaires, des associations et demain, des touristes !

Un timing serré et une exigence forte liée aux ambitions du projet ayant achevés de sceller les énergies de chaque partie-prenante autour d’un objectif commun : Créer un outil hors du commun !
Hors du commun pour :

  • Le client, afin de lui permettre de témoigner de ses ambitions et de sa feuille de route au travers d’un outil de communication immersif et innovant,
  • Le consortium, afin de lui permettre de mettre en œuvre une première fois cette synergie de compétences et de talents et pourquoi pas se donner les moyens de répliquer la démarche vers d’autres clients.

LE MOT DE LA FIN :

Chez IMMERTION TOOLS, quel que soit notre niveau d’intervention dans un projet, nous sommes toujours aussi impliqué ! On ne se refait pas.
Tantôt pour notre propre compte, tantôt au service d’un groupement, nous mettons toute notre énergie au service de la réussite des projets de nos clients. De la phase de conseil et de conception à la phase de développement jusqu’à la mise en production, nous sommes attentifs à maintenir la relation de confiance que nous aimons entretenir avec nos clients comme avec nos partenaires.

Et ça, c’est et ça restera notre marque de fabrique !

Affaire à suivre…

Le Metaverse c’est quoi ?

Le Metaverse c’est quoi ?

« S’il est encore un buzzword pour ses initiés, le métavers n’est plus une nouveauté pour ses passionnés car il existe depuis plus de 20 ans. Côté B2B, les opportunités ayant trait au métavers existent déjà et les industries à haute intensité capitalistique utilisent déjà l’indéniable potentiel de monétisation des mondes virtuels sous diverses formes »
(source : METADAYS 2022)

Le Metaverse, ça existe ou pas !?

Il y a tout juste un an (à la date où j’écris), Facebook devenait « Meta », s’appropriant le mot « Metaverse », pour certains dans l’indifférence totale, pour d’autres en entrant directement dans le top 10 des polémiques ultra-clivantes sur les réseaux sociaux.

Aux deux extrémités du champ de bataille, si on schématise grossièrement : plutôt des inconditionnels de culture Cyberpunk (1), face à des annonceurs (2) en quête de marketing viral, et au milieu, des acteurs en train de structurer leurs services. 
Le tout se jouant devant un public souvent dubitatif et perdu dans cette nébuleuse d’annonces et articles de pléthore de “grand spécialistes”. 

    • (1) Les premiers sont fans d’utopies ou de dystopies en particulier du roman Snow Crash*. Ils rêvent de parcourir avec leur alter-égo un monde parallèle numérique proche du nôtre, où tous les fantasmes sont possibles, décrivant un univers technologiquement avancé mais plutôt désorganisé. Pour eux, LE Metaverse n’existe pas encore.
    • (2) Les seconds sont publicitaires, et dès que l’on parle d’un espace partagé en ligne, d’un casque de réalité virtuelle, ou d’une expérience 360°, font surgir ce mot magique, “Metaverse”, comme dans le-jeu-du-mot-mystère à placer à tout prix lors d’une soirée, même si personne ne comprend à quoi ça sert !

* Snow Crash, de Neal Stephenson – 1992 : l’auteur décrit dans son roman un univers plutôt apocalyptique auquel les personnages peuvent momentanément échapper en plongeant dans un univers parallèle en réalité virtuelle, un “méta-univers”, qu’il nomme le Metaverse. Le préfixe grec META étant particulièrement bien choisi, puisque suivant le contexte, il exprime tout à la fois la réflexion, le changement, la succession, le fait d’aller au-delà, à côté de, entre ou avec. On retrouve ce type d’échappatoire dans le film “Ready Player One” de Spielberg.

Mais du coup… qui a raison ?

La réponse n’est pas simple, et disons qu’il existe aujourd’hui des embryons de ce nouveau monde, des « protometaverses » avec chacun leurs usages.

 

franchement, on en a des exemples utiles ?

Qui dit usage dit besoin en amont. Paradoxalement, notre business dans l’industrie des outils immersifs a commencé par des questions relatives à nos loisirs. Dans l’équipe, on aime la mer (on habite à côté), et on est plongeurs. Il y a quelques années, chargé par mon club de dispenser les cours de théorie de plongée sous-marine, je constatais que rien n’avait changé en 70 ans d’existence de la plongée récréative : les technologies avaient évolué, pas la méthode ! A l’ère du Web 2.0 et du Gaming en 3D, on en était resté aux bouquins « pavés » plein de formules, et aucune solution mise en place pour contourner les problèmes les plus récurrents :

  • expliquer des choses parfois barbantes et/ou complexes (cours de physique, de biologie, exercices répétitifs, salles de formation inadaptées,…)
  • mettre en œuvre du matériel lourd et ultra-technique, limité en quantité, long à préparer et uniquement par des opérateurs certifiés pas toujours disponibles (bouteilles de plongées, gonflage haute pression, créer des mélanges gazeux différents, … )
  • réunir au même endroit au même moment les apprenants pour optimiser la ressource en encadrants
  • vérifier les acquis dans un milieu qui peut devenir très hostile (loin sous l’eau) si on a mal assimilé le cours

Se former simplement…

OK, mais ceci posé, il fallait trouver l’outil adapté…

 
Quoi de mieux pour lever ces freins qu’un environnement qui ressemblerait au nôtre : immersif, spatialisé à 360°, dans lequel on pourrait tous s’inviter et discuter comme en vrai, se rejoindre en 2 clics sans avoir besoin de sa voiture ?

Et si en plus on pouvait y distribuer autant de matériel que l’on veut, faire varier les lois de la physique, mourir 3 fois par heure d’accident de décompression et ressusciter… le tout par avatar interposé, depuis son canapé avec une boisson fraiche à la main ?

En 2007, un monde immersif en ligne permettait tout ça : Second Life®, et on en a profité !

Un de nos magasins franchisés dans Second Life, où l’on peut acheter les équipements de simulation
pour aller suivre ses cours, ou expérimenter la plongée en temps réel (environ 15000 tenues vendues)

 

L’avantage de cet outil, c’est qu’il est accessible de n’importe où et par n’importe qui via une connexion Internet. Il n’en a pas fallu plus pour éveiller la curiosité de PADI® (6600 centres et bases de plongée et plus de 128 000 membres professionnels) et le travail bénévole pour le club de plongée s’est transformé en entreprise spécialisée dans l’immersion. Depuis, la formation est dispensée virtuellement par PADI®, via notre marque d’équipement de simulation de plongée « subOceana® » (ne surfez plus, plongez dans le web).

Douze ans après ses débuts, en pleine pandémie, on a dû lui faire un lifting pour accueillir de nouvelles fonctionnalités, pour venir au secours de clubs dont les salles de formation s’étaient vidées de leurs adhérents ! A ce jour, la session de formation coûte 250€ et délivre le même certificat pour tout le monde, qu’elle soit dispensée en club de plongée ou dans Second Life®.

Complete your EANx Specialty Online and in a 3D Virtual World

Enriched Air Diver is PADI’s most popular specialty for certified divers. It’s also a great way for qualified divers from any training agency to earn a PADI certification. You’ll do this online with the new PADI Enriched Air Diver eLearning and in a stunning 3D virtual environment where you’ll experience highly realistic gas analysis and scuba diving simulations. This immersive technology provides an unparalleled learning experience.

Dis, c’est comment à l’intérieur ?

Le Metaverse n’est pas un jeu vidéo. On peut en effet y créer des jeux, mais c’est avant tout un outil ouvert, entièrement paramétrable par ses utilisateurs. C’est une évolution de l’utilisation d’internet dont les principales propositions de valeurs sont : 

    • Un monde numérique, spatialisé et immersif, construit par ses utilisateurs
    • Persistant (quand j’éteins mon PC, le monde continue à vivre)
    • La capacité à interagir avec les éléments virtuels de l’environnement et avec d’autres utilisateurs
    • La capacité à gérer son avatar (l’apparence, les gestes, la démarche, les expressions, …). Avec vue subjective en immersion casque VR et/ou avatars à la 3ème personne (piloté et vu de l’extérieur). Avatars pérennes.
    • L’ubiquité (être en plusieurs lieux en même temps en pilotant plusieurs avatars si on le souhaite)
    • Une diversité des utilisateurs et des communautés
    • Une liberté, non contrainte par des règles morales arbitraires
    • Un univers qui possède sa propre économie
    • Un outil interopérable, avec la capacité à gérer ses possessions et passer d’un environnement à l’autre si différentes briques du Metaverse étaient basées sur différentes technologies
    • Un outil multi-plateformes (PC, MAC, smartphones, casques de réalité virtuelle, réalité mixte…)
    • La décentralisation et la sécurisation (les données sont certifiées, et le système appartient aux utilisateurs, pas à une seule entité)

 

Ces propositions s’organisent en 7 couches, dont voici un modèle :

Building the Metaverse ©JonRadoff

Internet est de plus en plus spatialisé, de plus en plus immersif, et tire parti des environnements 3D issus du gaming, mais à ce jour aucune plateforme ne coche toutes les cases du concept : tout se construit par briques.

 

Mais alors, qui gère ce monde parallèle ?

« The metaverse is not “a metaverse”. It is the next generation of the internet: a decentralized multiverse, led by a new and abundant generation of creators ».
Jon Radoff

Cyberpunk 2077 : l’après 4ème guerre des entreprises, connue sous le nom de “guerre des océans”

Lorsqu’une seule entité, privée ou étatique, a le monopole sur les données utilisateurs et les canaux de diffusion, on connait les problèmes d’excès ou inversement de censure qui en découlent : Twitter, Facebook ou TikTok en sont les exemples quotidiens. La centralisation de l’information pose aussi la question de la cybersécurité : en Europe dans la plupart des grandes entreprises sensibles, il est interdit d’utiliser les outils de développement numériques américains, afin d’éviter la fuite des données.

En théorie, la décentralisation est la brique principale de l’esprit Metaverse, mais encore loin d’être efficiente. C’est LA source de polémique autour du « META » de Mark Zuckerberg, devenu le symbole d’un outil monopolistique et quasi totalitaire.

Mark vs V, ©explorations360

Ce sentiment est d’autant plus fort que tout se joue autour d’une mouvance à la croisée explosive des mondes cyberpunk et libertariens*. C’est à la fois un b(r)ouillon de culture(s) et une philosophie qui prône une société fondée sur la liberté de chacun, où prime l’initiative individuelle. On s’y organise et coopère comme on l’entend, selon des principes d’autonomie, de responsabilité, d’engagement. Le libertarianisme se fonde aussi sur le contrat privé, le droit de propriété, le marché et la libre-entreprise, le rôle de l’Etat s’y limite à celui d’arbitre et de protecteur de l’espace de liberté de chacun.

* Le courant libertarien classique (anarcho-capitalisme, minarchisme de droite, etc…) est un courant philosophique qui énonce des principes de liberté individuelle forts. Ce courant est renforcé par un libertarianisme de gauche y ajoutant une thèse égalitaire sur la propriété des ressources naturelles.

Voir en bas d’article le lien vers la déclaration d’indépendance du cyberespace de John Perry Barlow.

Il existe aujourd’hui des bribes d’outils décentralisés, avec des plateformes comme The Sandbox ou Decentraland, s’appuyant sur les technologies de Blockchain (c’est “une” des briques du WEB3). Pour vulgariser, tout y est sécurisé et le principe de fonctionnement est que les données et transactions sont partagées simultanément sur les appareils de tous les utilisateurs ; ainsi personne ne peut appuyer sur un bouton « Off ».

Le mathématicien Jean-Paul Delahaye donne l’image d’un “très grand cahier que tout le monde peut lire, librement et gratuitement, sur lequel tout le monde peut écrire, mais qui est impossible à effacer et indestructible”.

Bien que tous ces objectifs soient loin d’être atteints, les interfaces sont en train de s’enrichir, les outils de construction sont de moins en moins limités, et l’accessibilité a été bien améliorée.

 

Ok, du coup, pour les pros, où va-t-on ?

Même si les outils sont plutôt sympas à utiliser, mis à part pour des séances d’acculturation ou de Team Building, on hésitera à déployer en entreprise des plateformes comme META, entre-autres à cause du côté RGPD plutôt sensible, ou du lien pour le moment incontournable avec un compte Meta (Facebook ).

Il n’existe pas non plus d’alternative décentralisée vraiment simple à déployer en milieu pro pour des usages courants comme les salons ou meetings virtuels. Ces solutions s’accompagnent d’une connexion permanente à Internet (avec des temps de réponse réseau fluctuants, WEB3 oblige) ce qui n’est pas toujours simple en fonction des pares-feux ou des usages (pédagogie déportée par exemple).

Il faut aussi rappeler le fonctionnement très énergivore et encore souvent assez lent pour valider des opérations, même simples, via le système Blockchain. Les plateformes comme Decentraland sont encore loin d’être des outils où l’expérience utilisateur est fluide, et leur avenir, dans ce contexte d’interface dégradée, reste incertain. 

Workrooms : exemple de salle de réunion

tout ce bruit pour rien ?

Non ! Pas pour rien ! Nous sommes en train de changer la manière d’appréhender la diffusion de l’information et des savoirs. Même si le WEB3 n’existe pas encore dans sa version ultime, il se construit par briques fonctionnelles. Si aujourd’hui ces briques ne sont pas toutes assemblées ou interopérables, elles sont déjà efficientes dans leurs domaines propres et ont apporté leur lot de changement, de nouveaux services et usages :

pour les loisirs

  • une facilité accrue pour jouer en réseau, créer, discuter, assister à un spectacle, le cybersexe (et oui… c’est souvent un moteur non négligeable), se former, faire découvrir son univers, …

au travail

  • manipuler le jumeau numérique d’une ville directement dans son navigateur web
  • utiliser la simulation en temps réel pour la formation, l’onboarding, …
  • visiter un site industriel à distance, via un casque de réalité virtuelle
  • discuter à plusieurs dans une salle de « 3Dconférence »
  • présenter un produit, une idée, un lieu, un patrimoine à distance mais dans le même espace virtuel
  • parcourir un salon, un évènement en temps réel et assister à des conférences, interagir à distance
Cas d'usage du Metaverse

Prominent Use Cases for the Metaverse, source: Citi Global Insights

Ces changements sont bien perçus dans tous les secteurs : du tourisme à l’industrie, en passant par la formation, nous avons bien vu bouger la ligne et les exigences clients. La demande va au delà de l’intégration “au” Metaverse, en passant par une volonté d’utiliser des outils innovants ou différenciants pour la communication et le travail.

Au début du WEB1 (l’internet des pages reliées entre-elles), on causait au clavier et naissait Powerpoint pour les présentations.

Pendant le WEB2 (l’internet des utilisateurs connectés entre eux), on causait en visioconférence et naissait Prezi pour les présentations, Moodle pour les formations.

A l’arrivée du WEB3 (l’internet des données certifiées et immuables), on cause déjà en 3D spatialisée, et…

… et comme on est sur notre Blog, un peu de communication sur notre boulot 😋, parce que justement, en parallèle de notre travail d’exploration/exploitation du Metaverse, explorations360 est né de ce constat d’évolution des usages :

L'évolution du Web1 au Web3

Les outils s’adaptent aux évolutions du web et au public arrivant sur le marché du travail, élevé à Habbo, World of Warcraft, Roblox, Minecraft, Fortnite (et leurs moteurs économiques puissants). On se concentre sur les contenus, sur le Storytelling, la demande est croissante concernant la simplification du processus de création, montage scénarisation et publication 360°.

Outil de publication VR

Si vous voulez explorer le Metaverse, comprendre et anticiper la disruption qui est en train de se jouer, vous l’aurez compris, nous pouvons aussi vous accompagner et vous emmener sur nos terrains virtuels. Et allez, vous pouvez aussi vous essayer au ” Powerpoint de l’ère WEB3 ” : explorations360, capable même de s’intégrer à votre learning management system.

Vous êtes aussi les bienvenu(e)s pour une (vraie) plongée en Bretagne !

📢Retrouvez-nous les 29 & 30 NOVEMBRE 2022 à PARIS
au Centre de Congrès Rive Montparnasse, Stand S11 pour les METADAYS !

 

Pour aller plus loin :

 

1) La Déclaration d’Indépendance du Cyberespace 
https://www.explorations360.com/declaration-dindependance-du-cyberespace/

2) rapport du gouvernement français. Ce rapport, sous l’angle du Metaverse, reprend un état de l’art et une prospective relative aux outils numérique au sens large.

Mission exploratoire sur les métavers, Gouvernement français.